Segundo informação colhida no Anónimo sec. xxi, hoje é o dia da francofonia.
Para prestar uma pequena homenagem a uma língua muito especial para mim aqui vai um pequeno extracto do célebre poema de Apollinaire:
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu´il me souvienne
La joie venait toujours après la peine
.
Vienne la nuit sonne l´heure
Les jours s´en vont je demeure
.
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l´onde si lasse
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Vienne la nuit sonne l´heure
ainda vamos reabilitar "le français"
ResponderEliminar;)**
Excelente!
ResponderEliminarAdoro francês.
Beijinhos*
Je l´espère, Tsiwari!
ResponderEliminarMerci, Maria P.!
Tant qu'on y est... je me ferai un énorme plaisir,
ResponderEliminarécrivant en français... que bien peu autour de moi connaissent... hélas! :o(
CD De Gainsbourg à Gainsbarre
Oh je voudrais tant que tu te souviennes
Cette chanson était la tienne
C'était ta préférée, je crois
Qu'elle est de Prévert et Kosma
Et chaque fois les feuilles mortes
Te rappellent à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
N'en finissent pas de mourir
Avec d'autres bien sûr je m'abandonne
Mais leur chanson est monotone
Et peu à peu je m'indiffère
A cela il n'est rien à faire
Car chaque fois les feuilles mortes
Te rappellent à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
N'en finissent pas de mourir
Peut-on jamais savoir par où commence
Et quand finit l'indifférence
Passe l'automne vienne l'hiver
Et que la chanson de Prévert
Cette chanson, Les Feuilles Mortes
S'efface de mon souvenir
Et ce jour là, mes amours mortes
En auront fini de mourir
Hoje vim até aqui. Gostei do seu blog e conto voltar outros dias para ver mais, o que esteja para trás e o que venha para a frente.
ResponderEliminarUm beijinho e uma boa semana.
Gabriela